Turbulence de sillage, souffle hélicoïdal
Les tourbillons créés par les avions de ligne sont bien connus mais la plupart du temps invisibles. Et, le pilote, comme Saint-Thomas, ne croit bien souvent que ce qu’il voit.
Sur cette vidéo, on ne parle pas de trucs théoriques auxquels personne ne croit réellement, mais d’une histoire de DR400 derrière, certes, un Antonov-2. Évidemment cela finit mal…
Par expérience, même derrière un DR400, voire un Jodel 65 CV, il est possible de se retrouver avec les ailerons en butée à gauche sans pouvoir rétablir une inclinaison nulle tant qu’on est dans le souffle hélicoïdal.
Si jamais vous devez remettre les gaz derrière le décollage ou l’atterrissage d’un avion, notamment plus gros, il est préférable de se décaler un peu parallèlement à la piste (baïonnette) pour éviter la turbulence.